Seconde partie de ce double portail consacré à l'horreur. Je dois avouer que ce thème m'a
été inspiré par ma bio sur Kirk (j'en reproduis des extraits ci-dessous).
Kirk adore tout ce qui touche au genre "horreur" et collectionne comic books, gadgets ou vidéos de
vieux films. Il apprécie particulièrement l'acteur Christopher Lee et aurait même
offert à Lars une affiche publicitaire du film "The Curse Of The Mummy's Tomb" avec Boris Karloff.
Cette pièce unique achetée à Londres est estimée à 128 000 dollars !
"J'aime énormément les films d'horreur des années 20, 30 et 40, et beaucoup d'autres plus modernes
comme "Dawn of the Dead", "Reanimator", "Evil Dead" 1 et 2 , "Dark City", "Event Horizon",
"The Howling", "Tetsuo the Iron Man" ou "Dracula" de Francis Ford Coppola." [1999]
Saigneurs de la nuit, l'obscurité est leur alliée. Ils y règnent en maîtres. Ils reviennent
d'entre les morts pour se repaître de votre sang. Ils n'y peuvent rien, esclaves de leur
condition, leur soif est insatiable. La soif du sang. Fuyez. Courez. Hurlez. Ayez peur. Nul ne
peut leur échapper. Texte issu du site Les assoiffés [lien mort]
Les films d'horreur des années 30
Les premiers films d'épouvante apparurent, pratiquement, en même temps que le cinématographe.
Dès le début du siècle, les personnages horrifiques commencèrent à s'afficher sur les écrans
américains : le docteur Jeckyll en 1908, le monstre de Frankenstein en 1910, les vampires en
1911 et en 1914. Le cinéma allemand avait déjà entrepris les prémisses des films d'épouvante en
utilisant le romantisme noir des contes d'Hoffman et avec l'expressionnisme. Le surnaturel et
le démoniaque arrivaient avec les premières versions de "L'étudiant de Prague" (Des Student von
Prague - 1913) et du "Golem" (Der Golem - 1914).
Cinq ans plus tard, Robert Wiene réalisait "Le Cabinet du Docteur Caligari" (Das Kabinett des Dr.
Caligari - 1919), esquissant ce qui allait devenir le schéma classique de ce genre cinématographique.
César, le jeune somnambule hypnotisé par le démoniaque docteur Caligari qui le pousse à éliminer
ceux qui se moquent de son travail, est chargé de tuer la jeune héroïne, mais, frappé par la
beauté de la victime, il renonce à son forfait. Tout de noir vêtu, il s'éloigne avec la jeune
fille, aussi blanche que sa longue robe, sur les toits de la ville au coeur de la nuit. Cette
séquence de pur fantastique, d'une étonnante beauté plastique, se déroulait dans des décors
anguleux, pleins d'ombres menaçantes. Les trois personnages de ce film clé - le savant diabolique,
le monstre qu'il a créé et la jeune et belle victime - allaient faire la fortune de l'horreur
hollywoodienne.
Suite et fin de cet excellent historique sur :
Les fils de la Nuit
Boris KARLOFF
La plus grande star du film fantastique a mis un certain temps à s'affirmer. Emigré au Canada,
Karloff, ouvrier agricole, s'intéresse au théâtre. En 1916, il fait de la figuration au cinéma et,
en 1919, entame sa carrière à l'écran. Mais il restera dans l'obscurité jusqu'en 1931, date à
laquelle il se fait remarquer dans "The Criminal Code" de Howard Hawks.
Cette année-là sera pour lui une année cruciale car c'est aussi celle où
James Whale et le
maquilleur Jack Pierce inventent le masque qui lui collera au visage toute sa vie durant : celui
du monstre de "Frankenstein". Boris Karloff n'est mentionné au générique que par un point
d'interrogation. Mais il s'affirme comme une abomination tragique que le public adopte
immédiatement.
Son masque affreux possède une indéniable photogénie et le jeu de l'acteur, sobre
et humain, l'anime de poésie.
La biographie complète se trouve aussi sur :
Les fils de la Nuit
Christopher LEE
Comme Vincent Price,
Christopher Lee dans les feuilletons fut cantonnés dans le rôle du méchant
de service. Il sévit entre autre dans l'excellente série "Chapeau Melon et Bottes de Cuir" où il
campe un homme, mi-homme, mi-robot, mi-cybernaute.
Christopher Lee joua aussi Sherlock Holmes
ainsi que le monstre de Frankenstein et évidemment un nombre incalculable de fois Dracula ou du
moins un de ces émules. Christopher Lee apparut aussi, suprême consécration pour un acteur de
films d'épouvante, dans un James Bond "L'Homme au Pistolet d'Or" où il campe le rôle de l'infâme
Scaramanga.
La bio complète sur
Horreur et Epouvante
Reanimator, Evil Dead & cie
REANIMATOR
Film
réalisé en 1985 par Stuart Gordon, Réanimator est un film culte pour les fans de gore.
Grand Prix du festival de SITGES en 1985 et Grand Prix au regretté festival d'Avoriaz en 1986, section
Peur,
ce film raconte l'histoire d'un sérum permettant de ramener à la vie, des individus décédés.
Avec comme interprète, Bruce Abbott (Dan Cain), Barbara Crampton (Megan Halsey) et Jeffrey Combs
dans le rôle de Herbert West.
EVIL DEAD II
Ash et Linda retournent dans la cabane où, quatre ans plus tôt, ils avaient été attaqués par les
démons qui hantent les bois environnants. Ash y découvre une cassette, enregistrée par Raymond
Knoby, un archéologue renommé. La suite, vous vous en doutez...
Ces synopsis (parmi d'autres), mais aussi une présentation des genres horrifiques, downloads,
forum et liens :
L'univers de la Terreur
Les Screaming Queens
What is a Screaming Queen ??? Il est communément admis que la première Screaming Queen, considérée
comme telle, de l'histoire du cinéma, est Fay Wray dans le King Kong de Cooper en 1933. Ce qui ne
date pas d'hier, donc. Nous connaissons l'origine de l'affaire mais cela ne révèle pas vraiment
ce qu'est une Screaming Queen (une blonde dans la main d'un grand singe ?). Soyons stricts,
littéralement une Screaming Queen c'est une reine du hurlement, et ce n'est pas plus difficile
que cela. Une Screaming Queen passe sa vie à hurler.
Une Screaming Queen n'a en fait qu'un seul
but dans l'existence : se faire massacrer dans une série B quelconque. Une Screaming Queen est
une reine de la série B horrifique. C'est de préférence une bimbo sans trop de cervelle qui finit
le film les pieds devants.
Texte issu du site
Screaming Queens [lien mort]
Dans le même registre (l'humour en moins) :
Les filles de l'Enfer
Les tueurs masqués du 7ème art
Les SLASHERS ou films de PSYCHOKILLERS mettent en scène un tueur en série, le plus souvent masqué,
qui s'amuse à trucider une bande d'adolescents avides de sexe, de boissons et de substances
illicites. C'est bien sûr un peu réducteur comme approche mais c'est un bon résumé de la plupart
de ces films.
Mais ce n’est pas le scénario le plus important dans un slasher. Non, il s'agirait plutôt de leur
particularité de mettre en avant non pas les gentils mais le méchant. Et c'est ça leur grande force :
c'est pour le méchant qu'on les regarde. Ils sont toujours charismatiques et leur présence à
l'écran est majestueuse (et si un slasher est mauvais, c'est bien souvent à cause de l'absence de
charisme du tueur). Les plans où ils apparaissent sont les meilleurs de ces films. Aaah, Ben Willis
et son crochet dans l'encadrement d'une porte... Une main gantée de noir tenant fermement une
arme blanche... Jason dans les bois avec une machette... Merveilleux... Bon, parfois, surtout
dans les films de la seconde génération (et dans quelques autres, voir Tommy Jarvis et Tina Shepard
des VENDREDI 13),
les gentils sont eux aussi intéressants. Mais de toute façon, dès que le tueur
apparaît, il n'y en a plus que pour lui.
Texte issu du site
Psychokillers & Cinéma [lien mort]
Net Shit +
La série des Halloween (en anglais) :
Halloween
La série des Exorcistes (en anglais) :
The Exorcist
Après quelques sites spécialisés, voici les généralistes.
Films, réalisateurs, littérature, photos, etc. :
Horreur sur le web
Un site très très, mais vraiment très complet (L'horreur par catégorie, Monstre & Créature, Profils
des tueurs, Effets-Spéciaux, Bandes-Sonores, etc.) :
Horreur Morbide Video