![]() |
News
|
Band
|
Releases
|
Press
|
Multimedia
|
Section VIP
|
Infos
|
Interact
|
Newsletter
|
|
Help
|
Bootlegs
|
Fan Club
|
Links
|
>> Load > La promo choc (1) |
Passons aussi sur quelques "listening parties", plus ou moins appréciées (à Manchester, Leeds et Londres où Lars et Kirk ont fait une apparition, ou encore au Dynamo Open Air festival où aucun membre de Metallica n'était là pour créer l'événement). Là encore, seule une poignée de privilégiés a pu apprécier.
Lars : "Après "...And Justice For All", nous nous sommes intéressés à améliorer la qualité sonore de nos albums. Or, dans le même temps, les radios ont commencé à évoluer, à ériger de nouvelles règles au début des années 90. Bref, ce sont elles qui sont venues nous chercher et non l’inverse."
Moby [1997] : "J’écoute du classique, du jazz, de la techno, du metal. Tout a un aspect intéressant. Lorsqu’on réduit son univers à une seule chose, on revêt très vite des oeillères en pensant que tout ce qui ne rentre pas dans son créneau est mauvais. Ce n’est pas valable que dans la techno. Les puristes en jazz ou en metal n’écoutent que ça et se ferment souvent aux autres influences. Pour moi, la vie sous cet angle est plutôt morne."
Dans les jours qui suivirent, Tony Smith (le tour manager du groupe) participait à un chat en direct avec tous les fans connectés. Le lendemain - le 10 juin - c'était au tour de Metallica. Les deux soirées furent ponctuées par un concert au Slim's Club de San Francisco devant un public uniquement issu du fan-club.
Le second concert secret était relayé par internet, aussi des fans du monde entier purent regarder et écouter So What, Creeping death, Sad But True, Ain't My Bitch, Whiplash, Fade To Black, King Nothing, One, Until It Sleeps, For Whom The Bell Tolls, Wherever I May Roam, Nothing Else Matters, Enter Sandman, puis en rappel Last Caress, Master Of Puppets, Overkill et Motorbreath.
Apple s'est ensuite chargé de sélectionner les meilleures photos et extraits live pour les archiver en banque de données consultables par tous. Une action d'envergure sur le net, à mettre en parallèle à la construction du site officiel (appelé Metclub.com à ce stade...) et des premiers sites amateurs.
"Mama Said", plus linéaire, est le clip de Metallica qui bouge le moins et qui représente le moins le groupe en tant qu'entité. Je veux dire par là que le clip aurait pu s'intituler "James Hetfield de Metallica chante 'Mama said'". On ne voit que lui ! Pour finir, "King Nothing", plus convenu, n'obtiendra pas la palme du clip le plus polémique de Metallica. Il aurait d'ailleurs pu réconcilier certains ex-fans à cette époque, mais on en peut pas dire que ce clip a bénéficié d'une large diffusion de ce côté de l'Atlantique.